Photo : Gilles Favez
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EXPO photos Festival Images Sur le quai à proximité du jardin Roussy, à La Tour-de-Peilz, une exposition photos met en avant le travail de 3 photographes : Gilles Favez, Eric Frigière et Yves Ryncky. Ils ont le point commun d’avoir réalisé de magnifiques clichés sur les bateaux anciens. Certains d’entre eux ont été retenus par Stefano Stoll et Raphaël Biollay, les responsables du Festival Images. C’est donc ici à la fois un hommage rendu au travail de ces trois artistes et la joie d’accueillir « extra muros » le Festival Images qui vient ainsi s’associer à ces festivités. |
Gilles Favez
Né en 1957, Gilles Favez fait son apprentissage dans un studio de photographies publicitaires. Il pratique durant quelques années la photographie industrielle puis s’installe à son compte, place de la Gare à Vevey et se spécialise dans tous les travaux noir-blanc (studio, laboratoire et magasin).
Depuis la fin des années 70, la collaboration au sein du magasin familial lui permet de voyager. A bord de son voilier de 6m50. Gilles Favez pratique le reportage photographique, cette expérience confirme son goût et la maîtrise de son domaine de prédilection : la photographie maritime et lacustre. Captivé par tout ce qui touche à l‘eau de près ou de loin, il se passionne pour les ambiances lémaniques (paysages, portraits de bateaux et de gens du lac). Son travail se compose comme un album thématique ou le patrimoine et l'environnement lacustre occupent une place privilégiée.
Ses photographies illustrent périodiquement des magazines tels que Animan, Skipper’s magazine, Nautisme Romand ainsi que divers ouvrages comme “Une histoire du yachting, les100 bateaux du siècle” de Daniel Charles. Elles ont également été choisies pour des campagnes publicitaires ou par des fabricants de voiles, tels Elvström Sails ou Mégroz Voiles ainsi que pour les sites internet de constructeurs et architectes navals ou encore Hasselblad.
Gilles Favez participe à la publication d‘un ouvrage de référence, “Le Naviot” avec comme co-auteurs Carinne Bertolla et Noël Charmillot, à la suite d’une recherche iconographique sur la plaisance lémanique de 1852 à 1956 pour le Musée du Léman. En 2007, il signe les images du livre édité par l'Association Internationale des 6.5m JI pour le centenaire de l'association. Photographe officiel de la série des 6m JI depuis 2003, ses photographies trouvent une place de choix dans le livre “The six meters. 100 years of racing” pour le centenaire de la série. Son travail d'inventaire iconographique quasi exhaustif sur les phares du Léman a conduit à diverses expositions et publications. Nombre de ses photographies sont diffusées en poster, cartes postales, ou en calendriers.
Il bénéficie du soutien du Musée du Léman, pour son travail dont le lac constitue le thème central. Il a d'ailleurs réalisé pour ce dernier un inventaire photographique de tous les bateaux de sauvetage que l'on peut admirer à Nyon dans une des salles permanentes du Musée.
Depuis la fin des années 70, la collaboration au sein du magasin familial lui permet de voyager. A bord de son voilier de 6m50. Gilles Favez pratique le reportage photographique, cette expérience confirme son goût et la maîtrise de son domaine de prédilection : la photographie maritime et lacustre. Captivé par tout ce qui touche à l‘eau de près ou de loin, il se passionne pour les ambiances lémaniques (paysages, portraits de bateaux et de gens du lac). Son travail se compose comme un album thématique ou le patrimoine et l'environnement lacustre occupent une place privilégiée.
Ses photographies illustrent périodiquement des magazines tels que Animan, Skipper’s magazine, Nautisme Romand ainsi que divers ouvrages comme “Une histoire du yachting, les100 bateaux du siècle” de Daniel Charles. Elles ont également été choisies pour des campagnes publicitaires ou par des fabricants de voiles, tels Elvström Sails ou Mégroz Voiles ainsi que pour les sites internet de constructeurs et architectes navals ou encore Hasselblad.
Gilles Favez participe à la publication d‘un ouvrage de référence, “Le Naviot” avec comme co-auteurs Carinne Bertolla et Noël Charmillot, à la suite d’une recherche iconographique sur la plaisance lémanique de 1852 à 1956 pour le Musée du Léman. En 2007, il signe les images du livre édité par l'Association Internationale des 6.5m JI pour le centenaire de l'association. Photographe officiel de la série des 6m JI depuis 2003, ses photographies trouvent une place de choix dans le livre “The six meters. 100 years of racing” pour le centenaire de la série. Son travail d'inventaire iconographique quasi exhaustif sur les phares du Léman a conduit à diverses expositions et publications. Nombre de ses photographies sont diffusées en poster, cartes postales, ou en calendriers.
Il bénéficie du soutien du Musée du Léman, pour son travail dont le lac constitue le thème central. Il a d'ailleurs réalisé pour ce dernier un inventaire photographique de tous les bateaux de sauvetage que l'on peut admirer à Nyon dans une des salles permanentes du Musée.
Eric Frigière
Photographe depuis plus de 25 ans, Eric Frigière a principalement travaillé dans des domaines tels que l’architecture, la publicité, l’industrie et le reportage.
Venu à la voile par hasard et tardivement, il s’est mis à photographier bateaux et navigateurs. Depuis 2009, il couvre la Régate des Vieux Bateaux de La Tour-de-Peilz, avec surtout des clichés en noir/blanc qui ont sa préférence. Eric Frigière travaille, habite et navigue dans la région depuis une quinzaine d’année. Il aime qu’au travers de ses images, les bateaux s’inscrivent dans le splendide décor qui nous entoure.
Eric Frigière a également produit un reportage sur la construction des catamarans D-35 paru dans les magazines Skippers et Inside et exposé au chantier naval Décision.
Eric Frigière a également produit un reportage sur la construction des catamarans D-35 paru dans les magazines Skippers et Inside et exposé au chantier naval Décision.
Yves Ryncky
Le Brownie reçu pour ses 10 ans a probablement tout déclenché ! Après des études universitaires menées avec succès, Yves Ryncki bascule définitivement dans la photographie et fonde avec deux associés Atelier Image à Lausanne où il fera ses premières armes en photographie commerciale. Quittant le navire après quelques années, il se lance dans une carrière d’indépendant qu’il ne quittera plus.
Yves Ryncki est depuis de nombreuses années photographe « de pub », basé au centre de Lausanne (20 ans de Calvaire, dit-il... mais c’est juste le nom de la rue...). Il travaille pour des clients et des agences dans divers secteurs d’activités nationales et internationales, mais il est aussi connu pour ses images nautiques. Spécialiste de la photo de régate depuis qu’il a attrapé le virus de la voile, Yves Ryncki navigue de préférence sur un classique anglais des années 1960 et participe avec assiduité au circuit des Lacustre après s’être illustré sur les régates internationales en Surprise. L’œil du régatier se reflète donc dans ses reportages. En Suisse comme à l’étranger, il suit les compétitions véliques, de bêtes de course modernes comme de yachts classiques au point que c’est devenu une partie importante de son activité professionnelle avec de nombreuses collaborations à des magazines spécialisés. Entre 1999 et 2003, il a suivi deux éditions de l’America’s Cup de même que son Jubilé à Cowes en 2001. C’est lors de ces événements qu’il a réalisé des images représentant les voiliers des trois grandes époques de la Cup : J Class, 12mJI, America’s class ! En 2003, il a d’ailleurs contribué de manière très conséquente au premier Skippers Maxi-Design Magazine: America’s Cup, Louis Vuitton Cup, l’Odyssée Alinghi.
Des expositions personnelles ou collectives jalonnent son parcours de photographe nautique résident d’un pays sans mer.
Au fil du temps, il a opté pour des cadrages originaux où l’eau, la vague, l’écume entrent dans la composition de l’image finale. «Derrière la vague » est devenu ainsi un thème récurrent de ses photographies nautiques. D’autres démarches actuelles dépendent directement de la passion du photographe pour des sujets d'essence maritime. Ainsi, tout en suivant les régates internationales, quand Eole se fait désirer, une nouvelle approche photographique conduit Yves Ryncki dans les marchés et criées des différentes villes fréquentées pour réaliser des natures mortes, évidemment, avec pour sujets, les poissons soigneusement rangés ou jetés en vrac sur l’étal; lignes graphiques, couleurs et contraste génèrent des images inhabituelles de ce monde subaquatique.